Immunapsis — Recherche scientifique indépendante
au service de l'esprit critique

Rédigé par Lydia Morel-Béter­min, le 21/10/2022

La société Immu­nap­sis n'existe plus depuis décem­bre 2014. En rai­son de prob­lèmes de san­té et de manque de parte­naires au niveau fin­canci­er, j'ai dû en cess­er l'activité. Ses objec­tifs n'étant pas adap­tés à ceux d'une société à but lucratif, l'entreprise évolue en asso­ci­a­tion.

Après la prise de con­science bru­tale de mon élec­tro­mag­né­to-hyper­sen­si­bil­ité en juin 2015 déclenchée par une forte expo­si­tion acci­den­telle aux micro-ondes pul­sées et aggravée par une con­t­a­m­i­na­tion aux métaux lourds quelques mois aupar­a­vant, j'ai été con­trainte de cess­er toute activ­ité pro­fes­sion­nelle pour me con­sacr­er à retrou­ver la san­té.

Ce syn­drome, anci­en­nement dénom­mé syn­drome des micro-ondes, a représen­té une chance, il m'a per­mis d'acquérir de nou­velles con­nais­sances et com­pé­tences en médecine et tox­i­colo­gie envi­ron­n­men­tale, mais aus­si en diag­nos­tic pol­lu­tion élec­tro­mag­né­tique, ain­si qu'en bio­physique et bioélec­tro­mag­nétisme.

J'ai pra­tiqué des pro­to­coles de médecine naturelle, con­nus et recom­mandés par plusieurs médecins et thérapeutes diplômés à leurs patients. Après 3 ans de cures régulières, les symp­tômes liés à la con­t­a­m­i­na­tion aux métaux ont dis­paru, notam­ment la dys­biose intesti­nale (can­di­dose chronique), la fatigue chronique, les douleurs mus­cu­laires, l’eczéma, cer­taines aller­gies (cer­tains pol­lens, rhi­nite chronique…), les ver­tiges, les prob­lèmes de cica­tri­sa­tion, le syn­drome pré­men­stru­el, les trou­bles de la gly­cémie, les crises d’asthme, les trou­bles psy­chiques… ain­si que la pho­to­sen­si­bil­i­sa­tion. Je suis moins sen­si­ble aux champs élec­tro­mag­né­tiques de bass­es fréquences, en par­ti­c­uli­er le courant domes­tique.

Grâce à ces cures, que je con­tin­ue tou­jours à pra­ti­quer, j'ai pu retrou­ver de l'énergie et j'ai pris con­science que le syn­drome d'électromagnéto-hypersensibilité n'était pas une patholo­gie, mais une réac­tion nor­male de l'organisme face à un agent physique tox­ique (micro-ondes pul­sées provenant des infra­struc­tures et appareils de tech­nolo­gie sans fils, champs élec­tro­mag­né­tiques bass­es fréquences provenant par exem­ple d'une ligne à haute ten­sion ou d'un trans­for­ma­teur). Ces cures m'ont per­mis d'accélér­er la réversibil­ité des symp­tômes : maux de tête, raideur de la nuque, acouphènes, douleurs dans les oreilles, sècher­esse buc­cale, échauf­fe­ment soudain, pal­pi­ta­tions car­diaques, douleurs pul­monaires, douleurs au niveau de la thy­roïde, ven­tre bal­loné et ten­du (météorisme), essouf­fle­ment, fatigue et douleurs mus­cu­laires brèves et intens­es, perte de mémoire à court terme très rapi­de… La liste n'est pas exhaus­tive. L'analyse du car­ac­tère spé­ci­fique de ces symp­tômes fera l'objet d'un prochain arti­cle. La majeure par­tie de ces symp­tômes se déclenchent immé­di­ate­ment en présence de la source pol­lu­ante et dis­parais­sent tout aus­si rapi­de­ment, dès que je m'éloigne de la source ou dès que cette dernière est enlevée.

Au moyen d'une longue enquête auprès de plusieurs cen­taines de per­son­nes, j'ai réal­isé que chaque indi­vidu (non con­t­a­m­iné) avait un degré de sen­si­bil­ité aux champs mag­né­tiques (CM) et élec­tro­mag­né­tiques (CEM) arti­fi­ciels qui lui était pro­pre, cela con­stitue une capac­ité naturelle de l'organisme. Au sein de la pop­u­la­tion, il existe une minorité de per­son­nes, entre 5 et 15% selon les pays, qui ont une sen­si­bil­ité aux CEM arti­fi­ciels plus dévelop­pée que la moyenne, ce sont les per­son­nes dites "élec­tro­hy­per­sen­si­bles" (EHS). Pour ma part j'utilise le terme moins ambigu et moins péjo­ratif d' "élec­tro­mag­né­to-per­cep­tives" (abrégé en EMP). Ces indi­vidus ne sont pas malades mais "nor­maux" et en bonne san­té. Ils font par­tie de la vari­abil­ité pro­pre à notre espèce, Homo sapi­ens. Cer­tains médecins et admin­is­tra­teurs d'associations, pour­tant cen­sés défendre ces indi­vidus, font croire qu'ils sont malades et qu'ils ont besoin de recevoir un traite­ment thérapeu­tique. Après plusieurs années d'observation de ce milieu et d'enquêtes minu­tieuses, j'ai pu décou­vrir qu'ils avaient des con­flits d'intérêts avec par exem­ple les indus­tries bio­médi­cales (médica­ments, com­plé­ments ali­men­taires, diag­nos­tic…) et les secteurs des télé­com­mu­ni­ca­tions et du numérique. Con­traire­ment à ce qu'ils pré­ten­dent, c'est l'environnement qui est pol­lué et malade et qu'il faut traiter.[1]

En cet automne 2022, après env­i­ron 3 ans de déploiement for­cé et accéléré des tech­nolo­gies de télé­com­mu­ni­ca­tion mobiles de 5ème généra­tion ou "5G" sur terre et dans l'espace, les micro-ondes pul­sées représen­tent la cause majeure des prob­lèmes de san­té, de mal­adies, de douleurs physiques et souf­frances psy­chiques dans la pop­u­la­tion.[2], [3]

Le con­stat est assez sim­i­laire par­mi les ani­maux d'élevage et de com­pag­nie d'après les nom­breux témoignages d'éleveurs et rap­ports d'expertise de vétéri­naires.[4] Les lob­by­istes se trou­vent ain­si bien en peine d'affirmer que les vach­es souf­frent de trou­bles psy­cho­so­ma­tiques…

A côté de cela, nous con­sta­tons une détéri­o­ra­tion et une dis­pari­tion de nom­breuses espèces ani­males, y com­pris d'insectes et une détéri­o­ra­tion du cou­vert végé­tal : arbres et forêts malades[5], même dans les zones isolées loin de toute pol­lu­tion chim­ique et ayant une faible pol­lu­tion atmo­sphérique, comme nous pou­vons le remar­quer en Suède. Les arbres tout comme les cul­tures agri­coles subis­sent les effets des radi­a­tions.[6], [7]

Les indus­tries des télé­com­mu­ni­ca­tions et du numérique perçoivent des revenus con­sid­érables, estimés à plus de 16 000 mil­liards de dol­lars en 2021 (soit le PIB de la Chine, 2ème puis­sance économique mon­di­ale der­rière les USA).[8] Le sys­tème politi­co-économique est per­ver­ti par une vision étriquée et mor­tifère des sci­ences et tech­niques, issue des idéaux de la révo­lu­tion indus­trielle : le pro­grès tech­nique per­me­t­trait celui de la société toute entière et tout nou­veau prob­lème qui se pose pour­rait tou­jours être résolu par plus de tech­nolo­gie. Il en résulte une course effrénée aux inno­va­tions et aux dépôts de brevets (Pour en savoir plus, cli­quer ici). Ce sys­tème est aus­si assu­jet­ti par plus d'un demi-siè­cle d'idéologie néolibérale ou plus juste­ment hyper­cap­i­tal­iste. Ce con­texte explique la cor­rup­tion général­isée des élus et cadres supérieurs du secteur pub­lic à tous les niveaux (local, région­al, nation­al, européen, inter­na­tion­al), mais aus­si des cadres supérieurs et dirigeants des entre­pris­es privées de dif­férents secteurs d'activité, notam­ment des médias et réseaux soci­aux.

Les indus­triels des télé­com et du numérique, avec la com­plic­ité des autorités, ont volon­taire­ment dés­in­for­mé la pop­u­la­tion sur les dan­gers san­i­taires et écologiques des tech­nolo­gies de télé­com­mu­ni­ca­tion sans fils, en définis­sant eux-mêmes des règles de sécu­rité basées sur des seuils d'exposition. Mais ceux-ci ne pren­nent en compte que les seuls effets ther­miques et non les effets biologiques, en s'appuyant sur des études pseu­do-sci­en­tifiques financées par leurs soins qui min­imisent les impacts et entre­ti­en­nent le doute.[9]

Grâce à des grandes cam­pagnes de pro­pa­gande dans les médias, ces indus­triels ont poussé la pop­u­la­tion et les pro­fes­sion­nels des dif­férents secteurs à s'équiper de télé­phones mobiles, puis de smart­phones et autres objets de com­mu­ni­ca­tion sans fils et à en devenir dépen­dants.[10] Cette addic­tion au smart­phone est plus dan­gereuse que les pro­duits addic­tifs clas­siques (tabac, alcool…) car elle est insi­dieuse, indo­lore au départ. Les gros util­isa­teurs de ces objets sans fils per­dent facile­ment pied avec la réal­ité. Cette addic­tion con­stitue une forme mod­erne d'asservissement, les vic­times per­dent tout bon sens, tout esprit cri­tique, donc leur libre arbi­tre. Ils devi­en­nent ain­si des sujets facile­ment influ­ençables et manip­u­la­bles. Nous avons pu en avoir une par­faite illus­tra­tion depuis fin 2019 — début 2020 avec le lance­ment de l'évènement coro­na-cir­cus.

Il est dans l'intérêt de tous de réduire l'usage d'internet mobile et du télé­phone portable et à terme de s'en sépar­er ain­si que de tous les autres appareils de com­mu­ni­ca­tion sans fils, comme je l'ai fait il y a plusieurs années ain­si que mon com­pagnon, infor­mati­cien et non-élec­tro­mag­né­to-per­cep­tif.

Nous avons tou­jours util­isé des câbles pour notre réseau local et jamais de wifi. De même, nous avons tou­jours été reliés à inter­net en filaire (ADSL, fibre).

Vivre sans télé­phone mobile c'est pos­si­ble et vous en retir­erez plusieurs béné­fices : moins de stress, plus d'assurance, plus d'écoute et de disponi­bil­ité pour les autres et pour soi. Vous vous sen­tez revivre, vous retrou­vez la lib­erté ![11] Ces qual­ités, ces valeurs et cet état de con­science sont à l'opposé des idées prônées par les par­ti­sans du "tout con­nec­té, tout le temps" et de l'idéologie mor­tifère tran­shu­man­iste qui vise la numéri­sa­tion et la marchan­di­s­a­tion du vivant dans son ensem­ble, Homo sapi­ens y com­pris.

Vous fer­ez en même temps un geste sig­ni­fi­catif pour la planète et tous ses habi­tants. C'est égale­ment un bon moyen de lut­ter con­tre l'accélération du réchauf­fe­ment cli­ma­tique – réduc­tion de la con­som­ma­tion et pro­duc­tion d'électricité, arrêt de la micro-ondi­s­a­tion de la planète. La Terre a été trans­for­mée en gigan­tesque four à micro-ondes. C'est bien la vapeur d'eau qui est le prin­ci­pal gaz à effet de serre pour 99%. Le CO2 , gaz non tox­ique, n'est présent que pour moins de 1% con­traire­ment à ce qu'annoncent les pseu­do-experts du GIEC, chercheurs non indépen­dants ayant des liens d'intérêts avec l'industrie du numérique, de l'énergie – les pro­duc­teurs d'électricité.

Comme l'affirme le neu­ro­bi­ol­o­giste Olle Johans­son dans sa Déc­la­ra­tion de Stock­holm, tous les équipements et infra­struc­tures doivent être com­pat­i­bles élec­tro­mag­né­tique­ment avec le vivant (con­cept de "Life EMC").[13]